Histoire et méthodologie
D’habitude au début d’un sujet nous avons tendance à évoquer des faits avec l’intention subreptice ou pas de donner plus de crédibilité au thème.
Ces lignes ne font pas l’exception, raison de plus pour paraître crédible donc.
La méthodologie ; est le fruit de l’analyse et la logique, le loup, le lion, quelques rapaces, dans leurs techniques de chasse font usage de méthodologie. L’homme même dans l’évolution s’est approprié des outils à chaque époque plus sophistiques. Du point de vue anthropologique et de la préhistoire l’homme est la espèce la plus méthodique sur la terre, d’ailleurs les techniques des autres espèces pour tant acquises sont attribues par la science à l’instant. Dans le cas contraire celons autres écoles nous sommes dans l’obligation d’admettre que les animaux sont dotés d’intelligence. En effet dans les différentes espèces la science arrive à la conclusion que d’autres espèces que l’homme ont développé des rudiments que nous obligent à les dénombrer comment étant des méthodes issus de l’association d’idées, dont d’une pensée pour rudimentaire quelle soit.
Prendre des nos jours un micro ordinateur pour élaborer des tableaux est dès lors une manière méthodique et louable vis à vis de la rentabilitée.
La méthode n’est pas propre à l’être humain. Par contre, du moment qu’un acté doit se répéter. Nous sommes confrontes au besoin d’incorporer des automatismes, même dans le subconscient et par association nous arrivons naturellement à la méthode.
Les grandes progrès des sciences sont ainsi dues en partie à la répétition des phénomènes : par le fait tourner au tour de la terre, la lune aurais permis aux aborigènes d’Amérique du Sud de trouver un calendrier identique au calendrier pastoral par exemple, sans oublier les grottes de Lascaux en France avec des peintures qui remontent à 15 000 ans fait par les hommes de Cro-Magnon.
Nous pouvons ainsi déduire que tout opération répétitive, permets l’étude et finalement l’élaboration de solutions pour la rendre plus simple ou réduire le temps d’exécution.
Créer des documents support conduit finalement à des abaques ou l’on supprime en grand partie des calculs dispendieux.
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